Si nous nous référons à la littérature d’avant-garde, voire parfois à la littérature ou à la poésie expérimentales, un point nous tient à cœur: les langues singulières parlées dans les livres que nous publions n’ont de valeur et d’utilité que si elles sont «lisibles», et donc susceptibles d’enrichir la langue commune que la pensée simplifiée s’évertue à appauvrir.